Le salaire est politique

La crise inflationniste post-2020 a frappé fort. On se le répète, il suffit d’aller à l’épicerie pour s’en rendre compte. Cette situation n’est pas étrangère au niveau de mobilisation auquel nous avons assisté à l’automne dernier dans le secteur public. Elle explique en partie aussi l’appui de la population aux revendications salariales. D’ailleurs, le secteur public n’est pas seul à voir le nombre de ses journées de grève augmenter.

La stratégie de la mouette rieuse

En marge du mouvement de l’automne 2023, il y a ceux qui ont laissé les autres faire la grève à leur place. C’est le cas du SPGQ et du SFPQ.

À celles et ceux qui ont atteint leur limite

Par Valérie Simard | Sans détours et sans équivoque : nous refusons de faire un travail qui demande du soin et de l’attention dans des conditions qui nous poussent vers la maltraitance ; nous refusons de suivre une cadence qui nous rend malades ; nous refusons de mettre notre sécurité en péril dans des locaux vétustes.

Grève asynchrone: quand la grève n’est pas en santé

Par Félix Dumas-Lavoie | Concrètement, les cinq premières journées de grève, nous étions considéré·es à 70% essentiel·l·es. Autrement dit, pour moi et mes collègues, cette loi a imposé un temps de grève au prorata de 30 % de la journée de travail, puis une diminution à 20% du temps de travail après les cinq premières journées de grève.